Le résultat recherché ne peut jamais être garanti, car il dépend des phénomènes de cicatrisation individuelle. Une correction complémentaire par lunettes, lentilles ou par intervention est parfois nécessaire.
Les opérations de chirurgie réfractive n’échappent pas à la règle générale selon laquelle il n’y a pas de chirurgie sans risque 0.
La sous correction ou la surcorrection ne sont pas exceptionnelles et nécessitent en cas de gène un retraitement à partir du 2°mois post opératoire.

Parmi les conséquences possibles de ces complications, on peut citer : la perception de halos, une tendance à l’ éblouissement, une réduction de l’acuité visuelle corrigée, une gêne à la vision nocturne, une vision dédoublée, une déformation des images. Ces complications transitoires ou définitives peuvent parfois nécessiter un traitement médical ou chirurgical.

Les complications peuvent être de nature infectieuse, (très exceptionnelles), et sont prises en charge par antibiotiques ou de nature inflammatoire (transitoires).

Cela est ainsi traitées par corticothérapie ou enfin de nature mécanique (rares entre des mains expérimentées). On peut citer, une découpe imparfaite ou des plis du capot qui peuvent retentir ou pas sur le résultat.

L’ectasie post opératoire après lasik, bien que d’incidence très faible, concerne des sujets prédisposés à développer naturellement un kératocone. D’où l’importance dans le bilan préoperatoire d’exclure les formes frustres. En revanche, la PKR semble avoir un effet protecteur dans certains cas.

Le Docteur Fernand ABEHASSERA est à votre disposition pour toutes questions complémentaires.